Partition de la mélodie n° 3 «Le ciel est très bas» tirée des «Douze mélodies sur des poésies de Catulle Mendès» pour voix et piano op. 22 n° 3 de Paderewski (Au Ménestrel / Heugel & Cie, Paris)
Partition de la mélodie n° 3 «Le ciel est très bas» tirée des «Douze mélodies sur des poésies de Catulle Mendès» pour voix et piano op. 22 n° 3 de Paderewski (Au Ménestrel / Heugel & Cie, Paris)
Partition de la mélodie n° 3 «Le ciel est très bas» tirée des «Douze mélodies sur des poésies de Catulle Mendès» pour voix et piano op. 22 n° 3 de Paderewski (Au Ménestrel / Heugel & Cie, Paris)
Partition de la mélodie n° 3 «Le ciel est très bas» tirée des «Douze mélodies sur des poésies de Catulle Mendès» pour voix et piano op. 22 n° 3 de Paderewski (Au Ménestrel / Heugel & Cie, Paris)
Partition de la mélodie n° 3 «Le ciel est très bas» tirée des «Douze mélodies sur des poésies de Catulle Mendès» pour voix et piano op. 22 n° 3 de Paderewski (Au Ménestrel / Heugel & Cie, Paris)
N° d'inventaire:
PARTI-22-3-LE-CIEL-EST-TRES-BAS-DOUZE-MELODIES-MENDES-HEUGEL
Type:
original
Source:
coll. Musée Paderewski, Morges

S'inscrivant dans la tradition des mélodies de salon magnifiée par Chopin, Paderewski compose de nombreux opus du genre entre 1882 et 1903: d'essence lyrique, ils se caractérisent par une sélection très fine des textes mis en musique. À côté des romantiques polonais, les poètes français occupent une place de choix: Théophile Gautier, et ici Catulle Mendès (beau-frère du premier!). Les Douze mélodies op. 22 tirent un profit idéal de cette poésie brillante et métriquement très maîtrisée. Editées à Paris en 1904, elles sont parmi les dernières pages à couler sous la plume de Paderewski, qui ne reviendra à la composition que pour achever son unique Symphonie, sorte de pont vers son nouvel engagement patriotique.