Partition de la «Fantaisie polonaise sur des thèmes originaux pour piano et orchestre» op. 19 de Paderewski – réduction pour 2 pianos (à 4 mains) (Ed. Bote & G. Bock, Berlin & Wiesbaden – édition récente, partition neuve – couverture brune)
Partition de la «Fantaisie polonaise sur des thèmes originaux pour piano et orchestre» op. 19 de Paderewski – réduction pour 2 pianos (à 4 mains) (Ed. Bote & G. Bock, Berlin & Wiesbaden – édition récente, partition neuve – couverture brune)
Partition de la «Fantaisie polonaise sur des thèmes originaux pour piano et orchestre» op. 19 de Paderewski – réduction pour 2 pianos (à 4 mains) (Ed. Bote & G. Bock, Berlin & Wiesbaden – édition récente, partition neuve – couverture brune)
Partition de la «Fantaisie polonaise sur des thèmes originaux pour piano et orchestre» op. 19 de Paderewski – réduction pour 2 pianos (à 4 mains) (Ed. Bote & G. Bock, Berlin & Wiesbaden – édition récente, partition neuve – couverture brune)
Partition de la «Fantaisie polonaise sur des thèmes originaux pour piano et orchestre» op. 19 de Paderewski – réduction pour 2 pianos (à 4 mains) (Ed. Bote & G. Bock, Berlin & Wiesbaden – édition récente, partition neuve – couverture brune)
N° d'inventaire:
PARTI-19-FANTAISIE-POLONAISE-2PIANOS-BOTE-RECENTE
Type:
original
Source:
coll. Musée Paderewski, Morges

La Fantaisie polonaise pour piano et orchestre op. 19 voit le jour en 1893, soit cinq ans après le Concerto pour piano op. 17. Comme le note Henryk Opienski, elle marque avec ce dernier le couronnement de «la première époque» de Paderewski. Il la met sur le métier au retour de sa seconde tournée américaine et la porte à la scène le 4 octobre 1893 en Angleterre, dans le cadre du Norwich Festival: le succès est total et l'œuvre devient très vite la favorite du public. Ecrite dans une forme plus libre que le Concerto, elle ne possède pas moins une structure en trois parties clairement identifiables, basées sur des motifs de danses polonaises caractéristiques: Krakowiak, Kujawiak et Mazurka. «La Fantaisie polonaise donne tout à fait l'impression d'une composition écrite comme d'un seul jet et dans un moment d'inspiration, commente Henryk Opienski. Mais on sait combien la réalité est souvent différente de ce jugement. Quoi qu'il en soit, on se sent entraîné, comme dans un tourbillon fantastique, par ces motifs remplis d'une ardeur juvénile incomparable, et mêlés à des rythmes de danses polonaises que souligne brillamment la partie de piano, tandis que l'orchestre, d'un coloris éblouissant, accuse la maîtrise accomplie de l'auteur.»