Partition du «Scherzino» tiré de l'«Album de mai, scènes romantiques pour piano» op. 10 n° 3 de Paderewski (Max Eschig, Paris – avec en couverture une liste des «Œuvres complètes de Paderewski» diffusées par cette maison)
Partition du «Scherzino» tiré de l'«Album de mai, scènes romantiques pour piano» op. 10 n° 3 de Paderewski (Max Eschig, Paris – avec en couverture une liste des «Œuvres complètes de Paderewski» diffusées par cette maison)
Partition du «Scherzino» tiré de l'«Album de mai, scènes romantiques pour piano» op. 10 n° 3 de Paderewski (Max Eschig, Paris – avec en couverture une liste des «Œuvres complètes de Paderewski» diffusées par cette maison)
Partition du «Scherzino» tiré de l'«Album de mai, scènes romantiques pour piano» op. 10 n° 3 de Paderewski (Max Eschig, Paris – avec en couverture une liste des «Œuvres complètes de Paderewski» diffusées par cette maison)
Partition du «Scherzino» tiré de l'«Album de mai, scènes romantiques pour piano» op. 10 n° 3 de Paderewski (Max Eschig, Paris – avec en couverture une liste des «Œuvres complètes de Paderewski» diffusées par cette maison)
N° d'inventaire:
PARTI-10-3-SCHERZINO-ALBUM-MAI-ESCHIG
Type:
original
Source:
coll. Musée Paderewski, Morges | fonds Opienska

«Au soir», «Chant d'amour», «Scherzino», «Barcarolle» et «Caprice-valse»: les titres évocateurs des cinq scènes romantiques de l' Album de mai op. 10 que Paderewski dédie – comme la plupart de ses œuvres de jeunesse – à son plus intime confident, le piano, ainsi qu'à sa muse Annette Essipoff-Leszetycka. Son premier biographe et ami Henryk Opienski (1870-1942), Polonais comme lui installé à Morges, donne un éclairage très fin de cette musique dans son ouvrage paru à Lausanne en 1928: «[…] ce pianiste compositeur ne recherche jamais les effets de virtuosité, même dans ses premières œuvres; son unique soin est de ‹faire chanter› le piano, d'en faire sortir une ligne mélodique à la sonorité large et profonde, telle qu'elle semble être née dans son âme, encore que le choix des harmonies soit toujours exempt de banalité. […] Plus encore que les formes de danses, le genre lyrique attirait le jeune compositeur: et, dans sa recherche pour exprimer les émotions de la vie, on peut dire qu'il sait trouver sans effort la forme la mieux appropriée. […] le reflet de son bonheur intime éclaire comme d'un doux sourire les pages exquises de l' Album de mai.»